La méditation Bouddhiste
Pour Jonathan l’aventure a commencée en 1995 lors de ses premiers voyages en Asie.
Les moines tibétains ont alors commencés par lui apprendre la pratique pour pacifier l’esprit ou Samatha (Cin.né en tibétain).
Par une familiarisation avec son propre esprit, elle permet au méditant d’arriver à une stabilité de l’esprit, libre de perturbation et par conséquent elle mène vers la nature essentiellement vide et paisible de l’esprit. Après, ont suivis les apprentissages de la méditation de l’attention ou Vipassana (Lhak.Thong en tibétain).
Le ‘calme esprit’ (Cin.né), et la ‘vue pénétrante’ (Lhak.Thong) sont deux formes de méditation qui se complètent et se renforcent mutuellement. La première permet de réunir toutes les conditions intérieures, telles que la concentration, favorables à la seconde. Sur la base de l’état d’apaisement de l’esprit, la vue pénétrante tend à réaliser le niveau ultime de l’esprit que l’on peut qualifier d’extrêmement simple. Donc même si dans le courant de la pratique, on met en œuvre des techniques diverses et un processus d’évolution intérieure s’enclenche, on gardera en vue que le résultat final est la parfaite simplicité et que la pratique en cours est avant tout un exercice de simplification. On va de la complexité vers la simplicité et non l’inverse.
Des liens étroits existent entre ces pratiques ancestrales Bouddhistes et les pratiques ancestrales Taoïstes desquelles fait partie le Qi Gong.
Les Bouddhistes, Hindouistes et Taoïstes, se sont inspirés mutuellement depuis la nuit des temps. De la même façon que les pratiques Bouddhistes, Hindouistes et Taoïstes sont venus inspirer et compléter les méthodes de nos contrées depuis un certain temps maintenant.